Plan local d’urbanisme

Désormais, retrouvez toutes les terelatives au Plan Local d’Urbanisme de la ville de Crécy-La-Chapelle et ses hameaux sur le site internet de GEOPORTAIL 

 

Le PLU a été approuvé le 04 février 2021

La loi ALUR -loi pour l’Accès au Logement et un Urbanisme Rénové- du 24 mars 2014 instaure notamment l’encadrement des loyers et promeut la construction de logements moins énergivores et plus accessibles.

Pour ce faire, elle a supprimé le Coefficient d’occupation des Sols, qui fixait la surface maximale constructible d’un terrain. Conséquence : il n’existe plus de surface minimum à respecter pour opérer une division de terrain.

Pour limiter ces divisions et lutter contre une densification des hameaux, la municipalité a mis en révision le PLU fin 2014. Le futur règlement devra permettre de mieux contrôler l’urbanisation et de résister à une pression foncière de plus en plus forte de la part des promoteurs, mais aussi de l’Etat. Comment ? En modifiant les règles de construction afin que des projets soient rendus irréalisables sur de trop petits terrains.

 

Pas plus de 150 logements et 360 habitants d’ici 2030

En moins de 50 ans, la population créçoise et le nombre de logements ont doublé. Conformément à la tendance nationale, les ménages sont devenus de plus en plus petits, passant de 2,8 à 2,4 personnes par foyer entre 1968 et 2014.

Enfin, les résidences secondaires se sont transformées en résidences principales, quand d’autres restent à l’abandon : Crécy-la-Chapelle compte plus de 200 logements vacants.

Le SDRIF 2014-2030 impose +10% de densité humaine dans les hameaux, +15% de densité humaine et de densité de l’habitat dans le bourg et à Montbarbin. Le document régional estime à 25 hectares la capacité d’ouverture à l’urbanisation sur la commune, à condition de garantir une densité de 35 logements par hectare sur ces secteurs.

Pour répondre aux objectifs imposés tout en réduisant au maximum l’expansion urbaine, la municipalité affiche des objectifs chiffrés d’ici à 2030 :

  • de 100 à 150 logements maximum (depuis 2014, environ 200 logements ont déjà été réalisés) et la résorption des logements sous-occupés et vacants.
  • de 240 à 360 nouveaux habitants.